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1574. (1898) L’esprit nouveau dans la vie artistique, sociale et religieuse « III — Un symbole »

Voici dans quels termes, au cours d’une lettre en date du cinq mars 1873, l’archevêque de Paris présenta la demande au ministre des cultes, M.  […] 63‌   Voici le texte de cette loi (24 juillet 1873) :‌ « Art. 1er. — Est déclarée d’utilité publique la construction d’une église sur la colline de Montmartre, conformément à la demande qui en a été faite par l’archevêque de Paris dans sa lettre du 5 mars 1873, adressée au ministre des cultes. […] Cette préoccupation constante prouve une fois de plus l’habileté suprême et l’adresse de haut vol des rédacteurs de mandements et de lettres apostoliques.

1575. (1870) Portraits de femmes (6e éd.) « [Avertissement de l'auteur] » p. 1

En commençant par un morceau sur Mme de Sévigné, on n’a pas prétendu donner un portrait étudié de cette personne incomparable : ce ne sont que quelques pages légères, autrefois improvisées au courant de la plume après une lecture des Lettres, et antérieures aux recherches récemment publiées ; mais on les a replacées ici bien plutôt à titre d’hommage, et parce qu’il est impossible d’essayer de parler des femmes sans se mettre d’abord en goût et comme en humeur par Mme de Sévigné.

1576. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — A — article » p. 172

Ses Dissertations, ses Mémoires pour servir à l’Histoire naturelle du Languedoc, ses Lettres sur les disputes des Médecins, font juger qu’il auroit pu s’illustrer parmi les Littérateurs, comme il s’est immortalisé parmi les Disciples d’Esculape.

1577. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — A — article » p. 190

Né avec de l’ardeur pour l’étude des Lettres, & formé par l’Abbé Desfontaines, il se seroit fait plus de réputation, si les devoirs de son état (il étoit Cheveau-Léger) lui eussent laissé plus de loisir pour cultiver son esprit & épurer son goût.

1578. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » p. 265

Sa réputation dans les Lettres fait la moindre partie de sa gloire.

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