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521. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — V. — article » pp. 427-429

Peu d'Historiens, dans toutes les Langues, ont possédé plus éminemment l'art d'attacher le Lecteur, de captiver son esprit, & de l'intéresser à son sujet.

522. (1857) Causeries du lundi. Tome I (3e éd.) « Note préliminaire » pp. 5-6

Sainte-Beuve essaiera d’établir entre ses lecteurs et lui.

523. (1885) Préfaces tirées des Œuvres complètes de Victor Hugo « Préfaces des romans — Préfaces de « Bug-Jargal » (1826-1832) — Préface de 1826 »

Enfin, il doit encore prévenir les lecteurs que l’histoire de Bug-Jargal n’est qu’un fragment d’un ouvrage plus étendu, qui devait être composé avec le titre de Contes sous la tente.

524. (1889) La bataille littéraire. Première série (1875-1878) pp. -312

Les lecteurs jugeront. […] Avant que bien des réclamations plus ou moins justifiées aient surgi, avant que d’autres comptes rendus aient paru sur le livre d’Alphonse Daudet, nous tenons à donner à nos lecteurs la primeur d’une œuvre étudiée sur la vie, une suite de portraits d’une rare ressemblance et au bas desquels la mémoire du lecteur aura bien vite mis un nom. […] Que le lecteur ne s’y trompe pas cependant ; bien que la plupart des nouvelles qui le composent soient à peu près inconnues aujourd’hui, elles ne sont point absolument inédites. […] L’action est des plus simples et, en homme qui sait son métier, l’auteur l’a enveloppée d’une forme mystérieuse faite pour piquer la curiosité du lecteur. […] Nous recommandons particulièrement la troisième partie de ce livre à nos lecteurs, en remerciant l’auteur d’avoir trouvé un dénouement qui, pour être heureux, n’en est pas moins émouvant.

525. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — L — Lafenestre, Georges (1837-1919) »

Lafenestre, ce serait d’avoir écrit des poèmes avec la seule préoccupation du beau, sans songer un instant à la nécessité d’étonner, que la paresse des lecteurs modernes rend si implacable.

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