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1271. (1894) La bataille littéraire. Cinquième série (1889-1890) pp. 1-349

Fidèle à nos habitudes, je ne me contenterai pas de discuter sur les intentions du romancier, mais je choisirai un passage de son livre pour que le lecteur puisse apprécier lui-même et juger en connaissance de cause. […] Jugez quelle fatigue, j’avais joué, j’étais épuisée… enfin ! […] Je ne fardai pas à le suivre et vous jugez de notre joie ! […] Le duc d’Orléans n’est plus à juger, mais la France doit le connaître intimement, et c’est dans ce livre plein de lui, encore chaud de sa vie, qu’elle le trouvera tout entier. […] J’en sais mieux juger moi-même aujourd’hui les vraies proportions, les féconds résultats, et aussi les imperfections, souvent inévitables.

1272. (1866) Nouveaux lundis. Tome VI « Appendice. — Post-scriptum sur Alfred de Vigny. (Se rapporte à l’article précédent, pages 398-451.) »

Victor Hugo, et à côte de lui dans la sphère littéraire, est peut-être la plus à même aujourd’hui de bien juger M. de Vigny, l’ayant vu de tout temps et connu très anciennement dès les plus belles années : « J’ai lu et relu votre Étude sur de Vigny.

1273. (1874) Premiers lundis. Tome I « Madame de Maintenon et la Princesse des Ursins — I »

Marmontel, qui avait eu entre les mains cette correspondance manuscrite, a jugé très favorablement madame des Ursins, et en vérité, d’après ce qu’on y lit, il est difficile de se défendre envers elle d’indulgence et d’estime.

1274. (1874) Premiers lundis. Tome I « Tacite »

Burnouf va faire pour Tacite, à en juger par les deux livres des Histoires qu’il vient de publier.

1275. (1874) Premiers lundis. Tome I « Walter Scott : Vie de Napoléon Bonaparte — II »

Le livre de sir Walter Scott est jugé en France, et le public doit commencer à être las du concert unanime de réprobation qu’excite depuis trois semaines cette production malheureuse.

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