Fidèle à nos habitudes, je ne me contenterai pas de discuter sur les intentions du romancier, mais je choisirai un passage de son livre pour que le lecteur puisse apprécier lui-même et juger en connaissance de cause. […] Jugez quelle fatigue, j’avais joué, j’étais épuisée… enfin ! […] Je ne fardai pas à le suivre et vous jugez de notre joie ! […] Le duc d’Orléans n’est plus à juger, mais la France doit le connaître intimement, et c’est dans ce livre plein de lui, encore chaud de sa vie, qu’elle le trouvera tout entier. […] J’en sais mieux juger moi-même aujourd’hui les vraies proportions, les féconds résultats, et aussi les imperfections, souvent inévitables.
Victor Hugo, et à côte de lui dans la sphère littéraire, est peut-être la plus à même aujourd’hui de bien juger M. de Vigny, l’ayant vu de tout temps et connu très anciennement dès les plus belles années : « J’ai lu et relu votre Étude sur de Vigny.
Marmontel, qui avait eu entre les mains cette correspondance manuscrite, a jugé très favorablement madame des Ursins, et en vérité, d’après ce qu’on y lit, il est difficile de se défendre envers elle d’indulgence et d’estime.
Burnouf va faire pour Tacite, à en juger par les deux livres des Histoires qu’il vient de publier.
Le livre de sir Walter Scott est jugé en France, et le public doit commencer à être las du concert unanime de réprobation qu’excite depuis trois semaines cette production malheureuse.