Ils entrent dans un petit bois de bouleaux où de jeunes femmes nues dansent en rond, au son d’un orgue qui joue le Dies iræ sur un mouvement de valse. […] L’orgue joue le Tantum ergo sur un mouvement de polka. […] Il m’est arrivé quelquefois de jouer, au grand ébahissement des hommes, le rôle de ton patron et je puis t’affirmer qu’ils n’y ont vu que — du feu. […] Certainement… Je lui joue, de temps en temps, quelque tour, mais je lui rends aussi de tels services qu’il ne me garde pas rancune. […] Ton égoïsme de poète te fais toujours ramener toutes choses à toi-même, et cela détourne trop souvent ton attention du drame magnifique joué par l’univers.
Quelles bizarreries dans ces accidents où la Providence fait comme jouer pour nous le hasard !
Ce vœu de négliger les muettes dans le corps du vers répugne à notre tempérament analytique, et c’est Ronsard qui a raison quand il écrit : Mari-e, vous avez la joue aussi vermeille Qu’une rose de mai… Encore ne faut-il pas considérer comme étrangers les écrivains de race gréco-latine (Pélasges).
Ce motif dirige la grande foule des écrivains, — qui ne s’avisent de littérature que pour l’écriture : babillage excessif, où la niaiserie fuse avec élégance ; opinions pitoyables qui crèvent comme des bulles ; combinaisons de mots harmonieux ; sont babioles dont ils jouent — ces virtuoses !
Il y a à gauche un escalier où les enfans jouent ; ces enfans et le perron sont à plusieurs toises d’enfoncement, ce qui se fait admirer.