Toute la maison fut remplie de la bonne odeur du parfum, à la grande joie de tous, excepté de l’avare Juda de Kerioth. […] Les Galiléens qui étaient venus à la fête en conçurent beaucoup de joie et lui préparèrent un petit triomphe. […] Maudit-il son âpre destinée, qui lui avait interdit les joies concédées à tous les autres ?
. — « Et moi », — dira-t-elle plus tard à Oreste, — « j’étais tenue à l’écart, méprisée, abjecte, chassée au dehors comme une chienne malfaisante ; et ma seule joie était de cacher mon deuil. » — Exclue du foyer, reléguée parmi les esclaves, Électre erre autour du palais maudit, couvant sa haine et nourrissant son espoir. […] Mais la vengeance interrompt bientôt ces joies fraternelles. […] Quelque chose pourtant a remué en elle, et c’est un poids soulevé ; sa joie secrète perce dans l’accueil qu’elle fait à l’homme qui lui rapporte un fils mort.
Il n’y a jamais eu, je crois, tant de frissons délicieux dans l’air, ni, partout répandue, une telle joie de vivre. […] Quand je suis parti, grand soleil, toilettes claires, voitures découvertes ; partout une joie, un étincellement. […] Nous ne nous tenions pas de joie. […] Il n’y a encore, voyez-vous, que les joies simples. […] Et ces joies, il les mérite, car nul bénédictin n’a plus travaillé que lui.
toi enfin, troisième substance de la divine infinitude, esprit illuminateur, la joie et la consolation de toute chose créée ! […] Il se promène, regarde, écoute, à cela se bornent ses joies ; ce ne sont que les joies poétiques de l’âme. […] Il se donnait la joie d’admirer, comme Shakspeare la joie de créer, comme Swift celle de détruire, comme Byron celle de combattre, comme Spenser celle de rêver. […] C’est une fête populaire ; je regrette de n’y point trouver les feux de joie, les cloches qui sonnent comme à Londres, et j’imagine qu’on y but à la santé du nouveau roi. […] Adieu, champs heureux, — où la joie pour toujours habite !
Nous ne le reproduisons pas, cet hymne, à cause de son étendue ; mais que le lecteur se représente le chant de la joie céleste dans la présence de Dieu. […] L’homme endurci s’amollit à ses joies religieuses d’enfance. […] « Quelle joie ce doit être pour toi, ô grand homme ! […] (En s’approchant du fauteuil de famille :) Ô toi qui, dans leur joie ou dans leur douleur, as reçu les aïeux sur tes bras ouverts ! […] C’est que j’en ai aussi ma part de joie.