YARÉDIA, — jeune Gourmantié — de Fada. […] Jeunes gourmantié de Bogandi (Cercle de Fada) : Fe YELBI Fe OURDlO Fe NASSA Fe KAMISSA SOUKO — Malinké, — femme d’Amadou Ly, interprète à Fada.
Ce monde va à un jeune efflanqué, que trois femmes en haillons tiennent et battent avec des gifles qui cassent, sur sa tête, son chapeau de haute forme. […] » demande-t-il à une jeune femme, et il ajoute : « Pourquoi ? […] Gautier chante l’éloge physique du poète allemand, et dit que, tout jeune, il était beau comme la beauté même, avec un nez un peu juif : « C’était, voyez-vous, Apollon, mélangé de Méphistophélès ! […] La pension, vendue à une ancienne religieuse et devenue un pensionnat de demoiselles, il était placé avec son jeune frère, rue Popincourt, chez Planche. […] « Auprès de la cheminée, deux jeunes élèves sages-femmes causaient à demi-voix.
Tout jeune, il s’est senti le vouloir d’être peintre, mais les idées provinciales de son père ne lui ont permis que de prendre une carrière, avoisinant cet art : l’architecture. […] Le jeune Ziem avait déjà la confiance dans le succès, l’audace, la jactance. […] Alors il décampait de la maison paternelle, sans un sou, et laissant derrière lui une ébauche d’amour avec une jeune Espagnole. […] Les Marseillais s’arrachent les aquarelles du jeune peintre, les élèves pleuvent. […] Un soir il invite la jeune femme à une mazurka.
Son délire, ce délire particulier aux maladies du cerveau, et qui fait, aux vieux comme aux jeunes, repasser, dans les dernières heures de l’agonie, les sensations de leur vie — son délire était à la fois doux et déchirant. […] Le garçon d’hôtel leur indique leurs places, à côté du jeune secrétaire d’ambassade : « Près d’un Français, nous ne voulons pas être empoisonnées ! […] qui prévoit ce que nous réserve cette jeune génération ? […] Ce soir, on lit, à haute voix, le volume de Daudet, que j’ai apporté : Fromont jeune et Risler aîné. […] C’est gentil un jeune ménage, dans un appartement qui n’est pas complètement meublé, dans un intérieur où le tapissier n’a pas posé le dernier clou, et où le premier enfant apparaît à l’état de ronde bosse.
Mézeray était le second de trois fils ; son plus jeune frère, appelé d’Houay, de la ferme de ce nom, devint habile chirurgien et accoucheur à Argentan ; il y fut nommé échevin et y soutint en cette qualité la prérogative municipale. […] Le jeune Mézeray fit de brillantes études à l’université de Caen, et de là il vint à Paris où, sous les auspices de son compatriote Des Yveteaux, il comptait débuter dans la poésie. […] Le cardinal de Richelieu, « appliqué à découvrir, nous dit d’Olivet, tout ce qu’il y avait de mérites cachés dans les galetas de Paris », apprit en même temps le nom, les projets, la maladie du jeune historien, et sur-le-champ lui envoya cinq cents écus d’or (d’autres disent deux cents) dans une bourse ornée de ses armes (1640). […] Ce n’est pas en des temps de Fronde qu’il eût appris à les concevoir, et c’est pour avoir, en ses jeunes années, en sa saison de verve et d’entreprise, vu réunies entre les mains de Richelieu les pièces merveilleuses de cet assemblage, c’est pour lui avoir vu reconquérir ce Roussillon aliéné depuis un siècle et demi, et lui avoir vu refaire en tous sens une France, qu’il a su mêler lui-même à son Histoire cet esprit français étendu, cette intelligence d’ensemble qui y subsiste à travers les remarques plus ou moins libres et les réflexions conformes à notre vieux génie populaire. […] Il aura, en se perfectionnant, de ces rapidités de récit qui sont même d’un grand écrivain ; parlant, dans l’Abrégé chronologique, des premiers succès de Conradin en Toscane : « Ces beaux commencements, dit-il, trahirent le jeune Conradin et le flattèrent pour le mener à la mort. » Il ne faut point faire, toutefois, comme Perrault, et aller jusqu’à comparer Mézeray à Thucydide ; les discours qu’il place dans la bouche de certains de ses personnages ont de la pensée sans doute, mais on a très bien remarqué que Mézeray écrit d’abondance et n’a point de phrase, c’est-à-dire de forme à lui ; il suffit que sa diction soit naturelle, sincère, expressive, sa narration pleine et bien démêlée.