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1542. (1857) Causeries du lundi. Tome I (3e éd.) « Préface » pp. 1-3

Au Globe d’abord, et ensuite à la Revue de Paris, sous la Restauration, jeune et débutant, je fis de la critique polémique, volontiers agressive, entreprenante du moins, de la critique d’invasion.

1543. (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Seconde partie. Poétique du Christianisme. — Livre troisième. Suite de la Poésie dans ses rapports avec les hommes. Passions. — Chapitre IX. Du vague des passions. »

Il reste à parler d’un état de l’âme, qui, ce nous semble, n’a pas encore été bien observé : c’est celui qui précède le développement des passions, lorsque nos facultés, jeunes, actives, entières mais renfermées, ne se sont exercées que sur elles-mêmes, sans but et sans objet.

1544. (1767) Salon de 1767 « Peintures — Brenet » p. 257

Un jeune mousquetaire appellé Moret regardait avec attention un homme assez plat, assis au café de Viseux à la même table que lui.

1545. (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Première partie — Section 16, de quelques tragedies dont le sujet est mal choisi » pp. 120-123

Une pareille raison pourroit tout au plus justifier celui d’une jeune princesse qui, durant quatre actes, auroit fait voir la foiblesse que montre cet empereur.

1546. (1867) Nouveaux lundis. Tome IX « Madame de Verdelin  »

Mme de Verdelin était jeune encore ; on ne dit pas qu’elle fut remarquablement jolie, on ne dit pas le contraire, et elle était certainement agréable75. […] Vous êtes trop jeune encore, vous avez un cœur trop tendre et plein d’une inclination trop ancienne pour n’être pas obligée à compter avec vous-même dans ce que vous devez sur ce point à vos enfants. […] On y trouvera les états de service fort honorables du jeune et brillant officier de marine, frère de Mme de Verdelin, emporté par un boulet de canon à l’âge de vingt-trois ans. — C’est encore Rousseau et ses méchants propos qu’on tient à réfuter dans ce petit écrit. […] On conserve dans la famille des lettres de Mme de Verdelin adressées à ses plus jeunes parents, soit pendant la Révolution, soit sous le Consulat et sous l’Èmpire. Elle avait un petit-fils militaire ainsi qu’un jeune cousin ou petit-neveu.

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