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1681. (1891) La vie littéraire. Troisième série pp. -396

On y voyait l’intérieur de la terre avec cette inscription « Inferi » et tout autour de la terre des cercles marquant la sphère des éléments, les sept sphères des planètes, puis le firmament ou ciel fixe, au-dessus duquel s’étendaient le neuvième ciel où quelques-uns avaient été ravis, le Primum mobile et le Coelum empyreum , séjour des bienheureux.

1682. (1868) Cours familier de littérature. XXV « CLe entretien. Molière »

Dès que j’en vis briller la splendeur plus qu’humaine, De mon intérieur vous fûtes souveraine ; De vos regards divins l’ineffable douceur Força la résistance où s’obstinait mon cœur ; Elle surmonta tout, jeûnes, prières, larmes, Et tourna tous mes vœux du côté de vos charmes.

1683. (1894) Journal des Goncourt. Tome VII (1885-1888) « Année 1888 » pp. 231-328

Jeudi 26 avril Pendant que je suis en train de faire le départ du troisième volume de mon Journal, apparaît dans l’entrebâillement de la porte du cabinet de Fasquelle, la tête de Zola, et cette tête amaigrie, et si joliment amenuisée, que j’ai vue il y a un mois, sous les embêtements de Germinal, et l’exaspération de la non-réussite, a le décharnement d’une profonde maladie intérieure.

1684. (1889) L’art au point de vue sociologique « Chapitre huitième. L’introduction des idées philosophiques et sociales dans la poésie (suite). Victor Hugo »

Le vieux conventionnel, dans les Misérables, vient d’emporter l’un après l’autre tous les retranchements intérieurs de l’évêque.

1685. (1889) Ægri somnia : pensées et caractères

Ce jour-là, toute chose allait bien ; tous les devoirs à l’intérieur étaient remplis allègrement. […] Cette joie du savant, tout intérieure, sans éclat et sans paroles, me faisait faire des comparaisons entre la condition des savants et celle des lettrés.

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