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1767. (1814) Cours de littérature dramatique. Tome II

Il est donc très probable qu’il se forma contre Athalie une conspiration de toute la basse et moyenne littérature, dont l’influence est d’autant plus puissante, que les petits auteurs, les petits poètes, intrigants par état et par nécessité, occupés à mendier l’indulgence pour leurs faibles écrits, se répandent beaucoup dans le monde, se dispersent dans les maisons, accaparent les sociétés, gouvernent l’esprit des femmes, et par là se rendent maîtres de l’opinion des hommes. […] Peut-être le grave Pothier, qui craignait l’influence du Tartufe sur la religion, n’était-il pas fâché d’encourager une farce sans conséquence, pour faire diversion ; et en cela s’il manquait de goût, il ne manquait pas de politique.

1768. (1853) Portraits littéraires. Tome II (3e éd.) pp. 59-300

Nous dirons la même chose de la différence établie par M. de Ségur entre l’influence d’un siècle sur un homme, et celle d’un homme sur son siècle. […] Le spiritualisme constant qui domine dans cet ouvrage a exercé sur le goût public une influence salutaire, et nous serions ingrat si nous ne reconnaissions pas que M. de Vigny a rendu un véritable service à la littérature dramatique.

1769. (1890) La bataille littéraire. Troisième série (1883-1886) pp. 1-343

Ce récit peint sur le vif l’influence bienfaisante du romancier. « On nous conduisit dans une salle étroite, froide et sombre. […] La personne qui a eu la plus grande influence sur ma vie, je veux dire ma sœur Henriette, n’y occupe presque aucune place.

1770. (1864) Histoire anecdotique de l’ancien théâtre en France. Tome I pp. 3-343

— Influence sur le théâtre, des fêtes données à Isabeau de Bavière, en 1385 […] Nous allons voir bientôt le théâtre et le public modifier complétement leur façon d’être, sous la salutaire influence de quelques grands auteurs ; mais avant, qu’on nous permette un mot d’adieu aux vieilles Farces qui réjouissaient tant nos pères.

1771. (1866) Cours familier de littérature. XXII « CXXXIIe entretien. Littérature russe. Ivan Tourgueneff (suite) » pp. 317-378

Ce village avait jadis appartenu à un monastère, et son église possédait une petite image miraculeuse, à l’influence de laquelle les habitants attribuaient leur bonne fortune d’être restés libres, au beau milieu des possessions d’un puissant seigneur.

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