[L’Humanité nouvelle (février 1900).]
Il a su faire un meilleur usage de ses talens, en les consacrant à donner des vûes pour le soulagement des maux qui affligent l’humanité.
Malgré le défaut de précision dans les matieres, on peut conseiller la lecture de ce Livre à ceux qui veulent avoir une idée nette des vices, des défauts, des vertus qui sont le partage de l’humanité.
Il est aisé de voir que ce n’est pas le désir de la célébrité qui lui a fait prendre la plume contre les Philosophes ; c’est l’amour de la Religion qu’ils s’efforcent d’anéantir, l’amour des mœurs qu’ils corrompent, l’amour de l’humanité entiere qu’ils affligent par leurs systêmes également absurdes & désolans.
Non, la Nature n’est pas l’implacable Déesse de l’Humanité. […] Il aime assez l’Humanité pour la racheter du sang de son Fils. […] L’humanité rentre sous l’empire de la Nature. […] J’aurai horreur de cette humanité muette et prisonnière. […] Tantôt il la rapproche de l’humanité jusqu’à la confondre avec elle.