Guerre des Barbets. — Horreurs. — Iniquités. — Impuissance. […] La guerre démoralise vite et ensauvage les cœurs, en se prolongeant trop. […] Siège de Philisbourg. — Guerre de Piémont ; son caractère. — Victoire de Staffarde. […] Mais bientôt, la guerre recommençant, on le jugea plus utile ailleurs. […] L’art de la guerre a existé de tout temps, a dit Jomini ; mais les traités sur l’art de la guerre sont récents.
Soudain, la guerre ! […] La guerre ; tout uniment, la guerre. […] Donc, la guerre. […] … » Puis : « La guerre… la guerre… On marche ! […] Bismarck voulait la guerre : c’est lui, la cause de la guerre.
Fin de la guerre du Piémont. — Lenteurs. — L’Homme expliqué par Tessé. […] Telle est l’idée juste et nullement malveillante que donne de lui Tessé, qui n’est pas un jaloux ni un rival de guerre. […] Seconde guerre d’Italie. — Disgraces. — Grandeur d’âme. — Campagne d’Alsace. […] Puis on signa la paix, et Catinat ne reparaît sur la scène qu’au commencement de la guerre de la Succession, en 1701. […] L’on n’est pas toujours heureux à la guerre ; c’est un métier où la fortune met beaucoup du sien.
À ce titre, on doit placer vers les temps qui précédèrent la guerre persique et les agitations des villes grecques d’Asie un poëte d’Éphèse, Callinos, un de ces élégiaques comme Alcman, dont le vers brisé respire tour à tour l’ardeur de la guerre ou la passion de l’amour. […] Vous semblez assis en paix ; et la guerre est partout en votre pays, etc. […] Voilà l’homme puissant à la guerre ! […] Qu’on s’efforce donc d’arriver à ce comble de la vertu, en ne laissant pas son cœur s’énerver pour la guerre ! […] Chante tant les plus mémorables guerres et les plus illustres généraux, il soutient sur la lyre tout le poids de l’œuvre épique.
Il excelle en cette guerre de chicane. […] Les mémoires sur la guerre de la Valteline sont donc du secrétaire de Rohan, et n’en valent pas moins pour cela5. […] La guerre générale qui se déclara en 1635 permit enfin d’employer au grand jour ses talents. L’idéal de Rohan, une fois hors des guerres civiles, aurait été de commander un corps d’armée à part, opérant avec indépendance. Dans des négociations qui eurent lieu pendant la seconde guerre (1625), il avait demandé à être envoyé en Italie sous Lesdiguières à la tête d’un petit corps d’armée de 6000 hommes et de 500 chevaux.