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1734. (1870) Causeries du lundi. Tome XI (3e éd.) « Werther. Correspondance de Goethe et de Kestner, traduite par M. L. Poley » pp. 289-315

Et le 23 janvier 1778 : « J’ai, en outre de mes fonctions de conseiller intime, la direction du département de la guerre et des chaussées, avec les caisses.

1735. (1865) Nouveaux lundis. Tome IV « Ducis épistolaire (suite et fin). »

Prenons-les en eux-mêmes, à la source, et non chez ceux qui s’en sont fait une arme de guerre ; laissons au refus son vrai caractère primitif, qui est moins d’opposition que de nature et de tempérament, et qui respire la plus saine énergie morale.

1736. (1862) Portraits littéraires. Tome I (nouv. éd.) « La Bruyère »

La Bruyère n’a pas déserté sur ce point l’héritage de Molière : il a continué cette guerre courageuse sur une scène bien plus resserrée (l’autre scène, d’ailleurs, n’eût plus été permise), mais avec des armes non moins vengeresses.

1737. (1911) La morale de l’ironie « Chapitre IV. L’ironie comme attitude morale » pp. 135-174

Il s’y trouve un peu comme un prisonnier de guerre, à qui l’on ne saurait imposer les mêmes devoirs qu’aux habitants du pays.

1738. (1886) Revue wagnérienne. Tome I « Paris, 8 janvier 1886. »

Soudain, étourdissant le prélude vermeil Un cor de guerre ulule, et sous les forêts mûres La horde des Héros dardant l’or des armures Déferle en cavalcade en le los du soleil : Lohengrin, Tannhaeuser, et Parsifal le Chaste, Dont les pennons de pourpre ondulent avec faste, Chevauchent aux clameurs des cymbales d’airain !

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