Et le 23 janvier 1778 : « J’ai, en outre de mes fonctions de conseiller intime, la direction du département de la guerre et des chaussées, avec les caisses.
Prenons-les en eux-mêmes, à la source, et non chez ceux qui s’en sont fait une arme de guerre ; laissons au refus son vrai caractère primitif, qui est moins d’opposition que de nature et de tempérament, et qui respire la plus saine énergie morale.
La Bruyère n’a pas déserté sur ce point l’héritage de Molière : il a continué cette guerre courageuse sur une scène bien plus resserrée (l’autre scène, d’ailleurs, n’eût plus été permise), mais avec des armes non moins vengeresses.
Il s’y trouve un peu comme un prisonnier de guerre, à qui l’on ne saurait imposer les mêmes devoirs qu’aux habitants du pays.
Soudain, étourdissant le prélude vermeil Un cor de guerre ulule, et sous les forêts mûres La horde des Héros dardant l’or des armures Déferle en cavalcade en le los du soleil : Lohengrin, Tannhaeuser, et Parsifal le Chaste, Dont les pennons de pourpre ondulent avec faste, Chevauchent aux clameurs des cymbales d’airain !