Pour des yeux modernes, un État grec semble une miniature. […] Grecs ! […] Désavantage énorme et dont les Grecs étaient exempts. […] On sait les noms de deux cents danses grecques. […] On peut comparer l’Olympe grec à un olivier vers la fin de l’été.
— Et le grec ? […] — Et l’auteur et le manuscrit grec ? […] Pour les maîtres, le Grand Dictionnaire grec d’Estienne. […] Cependant on ne possède pas la langue grecque sans l’avoir lu et relu. […] Du mot grec aOpô, médecin.
. — Liste de mots grecs réformés. — La Cité verbale et les mots insolites. — Dernier mot sur le « fonétisme ». — La liberté de l’orthographe. […] Voilà toutes mes propositions touchant la réforme des mots grecs. […] Sans doute aucun élagage, si rigoureux qu’il soit, ne donnera aux mots grecs la pureté de lignes qu’ils auraient acquise en passant par la forge populaire. […] L’honnête Vaugelas appelle le ch dur un piège tendu à toutes les femmes et à tous ceux qui ne savent pas le grec. […] On peut conserver l’h initiale de ces mots commençant en grec par u, non par respect pour le grec, mais pour varier les formes.
Mais, de plus, c’est un artiste grec attardé dans les temps modernes, plus grec que Chénier lui-même, Chénier l’archaïste, et tellement grec, en restant Byron, qu’il n’a même la révélation et la conscience de son génie que quand il s’est mis en rapport avec la Grèce et avec les. Grecs. […] Mais sa grammaire grecque, à lui, fut la Grèce elle-même, la Grèce tout entière ! […] Jusque-là, tristement Anglais, ce fut dans Childe Harold qu’il jaillit Grec et qu’il se rapporta Grec à sa patrie. […] Grenier — est allé jusqu’à dire que Byron est plus Grec même que les Anciens qui ont imité les Grecs ; et rien n’est plus vrai… Je sais d’autant plus gré de cette intuition à A.
Je n’en veux pour exemple que la défense d’imiter le luxe des Grecs dans les funérailles. […] Les premiers qui l’employèrent furent, chez les Grecs, Gorgias de Léontium, et chez les Latins, Cicéron. […] Ce vers fut appelé par les Grecs pythien, de leur fameux oracle d’Apollon Pythien. […] Les prêtres seuls savaient le latin et le grec. […] On doit conjecturer que les Latins et les Grecs en font autant, lorsqu’ils expriment tant de choses particulières aux barbares, avec des mots qui sonnent si bien en latin et en grec.