Cela équivaudrait à juger des Français d’après les œuvres de Ponson du Terrail ou de Xavier de Montépin et des déductions ainsi basées n’aboutiraient qu’à de grossières erreurs.
Charles Baudelaire, qui nous a introduit Edgar Poe dans la littérature française (et c’est une bonne introduction), paraît vouloir y introduire cet autre esprit malade de son vice, qu’il nous donne pour plus qu’il ne vaut.
., membre de l’Association catholique de la jeunesse française.
Comparés à celui-ci, les écrits écossais et français sur le beau paraissent misérables.
C’est un Français, c’est Bouchardon, c’est Pigalle ; c’était l’ami de mon grand-père, voilà son buste. […] « Que Sénèque fut le corrupteur du goût romain. » Comme Voltaire a été le corrupteur du goût français : car nos aristarques ont avancé l’un et l’autre. […] La course de notre vie est déjà fort avancée lorsque nous sommes capables de quelque chose de grand, et celui qui avait formé le projet de te faire admirer des Français, en leur mettant ton ouvrage sous les yeux, est mort avant que d’avoir mis la dernière main à son travail312… Sénèque, adressez ces reproches aux hommes dissipés, mais épargnez-les à Aristote ; épargnez-les à vous-même, et à tant d’hommes célèbres que la mort a surpris au milieu des plus belles entreprises. […] Après sa mort, l’Académie française a placé son buste à côté de celui de Molière, dans le lieu de ses assemblées ; ensuite elle a proposé son éloge pour sujet de son prix. […] — On ajoute : « Et c’est méchamment qu’on a fait courir le bruit que le clergé français lui avait refusé la sépulture.