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472. (1883) Le roman naturaliste

On n’a pas sitôt fini de lire son dernier roman que le suivant a déjà paru. […] Disons pourtant qu’il y a quelque surprise, dont on se défend mal, à voir un écrivain finir par où les autres commencent, ayant jadis commencé par où les autres finissent. […] tout est bien qui finit bien : M.  […] Les romantiques n’étaient-ils pas bien convaincus d’en avoir fini avec les classiques ? […] On a prétendu qu’elle aurait dû finir dans le désordre galant et dans la débauche nocturne.

473. (1763) Salon de 1763 « Peintures — Casanove »

On dit que Casanove tenait depuis cinq à six ans renfermé dans une maison de campagne, un jeune peintre appelé Loutherbourg qui finissait ses tableaux, et peu s’en faut que la chose ne soit démontrée.

474. (1890) Impressions de théâtre. Quatrième série

c’est fini, allez ! bien fini ! […] Arlequin en demande sept et finit par toper à six. […] Il fallait finir, et cela m’embarrassait beaucoup. […] C’est fini.

475. (1865) Nouveaux lundis. Tome IV « Appendice. »

Je me contenterai de faire remarquer que, pendant les trois semaines dans l’intervalle desquelles parurent ces articles, je le rencontrai plus d’une fois à dîner ou en soirée chez des amis ; nos rapports d’amitié et de cordialité n’en souffrirent en rien, et il me dit seulement qu’il m’écrirait une longue lettre pour sa justification, lorsque j’en aurais fini de mes objections et de mes critiques. […] « J’ai fini l’analyse et j’arrive à votre jugement. […] Je vais finir. — Un peu de patience ! […] Octave Lacroix, qui finit par lui succéder auprès de moi comme secrétaire.

476. (1870) Nouveaux lundis. Tome XII « Madame Desbordes-Valmore. »

Je monte et je finis comme je peux une existence où je parle bien plus souvent à Dieu qu’au monde. […] Nous y reviendrons avant de finir, heureux d’en pouvoir citer de précieux témoignages91. […] Ruiné dans toutes ses espérances, c’est encore une de ces existences dissoutes dans le mouvement formidable de ce qu’on appelle la civilisation, qui pour beaucoup ressemble au chaos. » « (6 septembre 1854)… Le malheur finit par semer l’épouvante même au sein des familles que le bonheur aurait unies. […] Elle finit par être une fièvre qui tend la mémoire et rend plus douloureuse la fuite des jours loin des lieux qu’on aimait parce qu’on y a beaucoup aimé. — Ne vous ai-je pas dit que souvent je me lève pour aller chercher tel ou tel objet dans telle ou telle chambre où je ne le trouve pas ?

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