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1580. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » pp. 474-476

Telle est la fin louable que l’Auteur s’est proposée dans ses Recherches historiques.

1581. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — V. — article » pp. 453-456

Peu d’Ecrivains fournissent plus d’exemples de pensées fines & delicates.

1582. (1885) Préfaces tirées des Œuvres complètes de Victor Hugo « Préfaces des recueils poétiques — Préface des « Chants du crépuscule » (1835) »

Question immense, la plus haute de toutes celles qui s’agitent confusément dans ce siècle où un point d’interrogation se dresse à la fin de tout.

1583. (1767) Salon de 1767 « Peintures — Bellengé » p. 204

On passerait de là au sexe, à l’âge, à la couleur de la peau, à l’état, à des convenances plus fines, d’où l’on parviendrait à démontrer qu’un dessin de robe est de mauvais goût, et cela aussi sûrement que le dessin de quelque autre objet que ce fût, car enfin les mots de tact, d’instinct, ne sont pas moins vides de sens dans ce cas qu’en tout autre, si l’on fait abstraction de la raison, de l’usage des sens, des convenances et de l’expérience.

1584. (1899) La parade littéraire (articles de La Plume, 1898-1899) pp. 300-117

Les plus furtives des sensations charnelles, il les a mises d’accord avec les fins universelles. […] Je suis sûr, mon cher Deschamps, que vous devinez la fin. […] Toute cette fin est très belle. […] Ce furent tous de charmants esprits, de fins lettrés, d’érudits écrivains, mais dont l’effort devait être stérile. […] Malgré tout, ce n’étaient pas eux qui devaient sauver la littérature française de la fin certaine où le symbolisme allait l’entraîner.

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