/ 2242
264. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » pp. 253-255

On sait que ce Poëte est fils de Joseph Saurin, de l'Académie des Sciences, qui n'a rien de commun avec le précédent, que d'avoir été Ministre comme lui. […] Saurin, en fils jaloux de l'honneur de son pere, auroit dû réclamer contre une aussi odieuse imputation.

265. (1888) Journal des Goncourt. Tome III (1866-1870) « Année 1866 » pp. 3-95

Une mère est tombée chez moi, un matin, me demander où était son fils, en me disant qu’elle irait le chercher n’importe où ! […] Père, fils et mère couchent dans la même chambre. […] Alors le fils lit, tout haut, un livre quelconque. […] Le rêve du czar avait été de donner à son fils la main d’une Napoléon. […] Il disait à son fils : “Il n’y a que nous deux d’honnêtes gens en Russie !

266. (1925) Proses datées

L’étude dont il s’agit concerne Alexandre Dumas fils et Blaze de Bury et contient un certain nombre de lettres médites du fils Dumas dont l’une nous offre un éreintement en règle de Victor Hugo. […] Or il est visible que Dumas fils déteste Hugo. […] Lacouture, qui emmenait avec lui sa femme et son jeune fils, et frété par M.  […] Lacouture, leur fils et M.  […] A sa mort, en 1780, il laissa trois fils.

267. (1884) Propos d’un entrepreneur de démolitions pp. -294

Alexandre Dumas père, fils aîné de Cham, travaille pour eux seuls. […] Son fils lui succède. […] Le fils Dumas n’est pas un idiot. […] Alors, pourquoi « fils de bourgeois » ? […] Dumas fils n’est pas seulement un pédant.

268. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — C — article » pp. 13-15

Colletet laissa un fils, [François, né en 1628] qu’il ne faut confondre avec son pere que du côté de la Poésie & de la pauvreté. C’est du fils que Despréaux a dit dans sa premiere Satire : Tandis que Colletet, crotté jusqu’à l’échine, S’en va chercher son pain de cuisine, Savant en ce métier si cher aux Beaux-Esprits, Dont Montmaur autrefois fit leçon dans Paris.

/ 2242