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296. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — R. — article » p. 65

Le genre auquel il s'est le plus particuliérement attaché, est la Poésie lyrique ; & par le feu, la verve, la noblesse qui regnent dans ses Odes, on voit qu'il est né Poëte.

297. (1759) Salon de 1759 « Salon de 1759 — Collin de Vermont et Jeaurat » p. 94

C’est le coloris de Boucher, sans ses grâces, sans son feu, sans sa finesse.

298. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — N — Ned, Édouard (1873-1949) »

Ce n’est pas un combattant vaincu avant d’avoir vu le feu.

299. (1910) Variations sur la vie et les livres pp. 5-314

C’est que son premier sentiment, en faveur de la Princesse de Clèves, n’avait été qu’un feu de paille. […] Plus de feu nulle part ! […] Ils allument du feu et sacrifient. […] Il allume du feu et trait convenablement ses brebis. […] Ses yeux brillent d’un feu ardent, et son visage, malgré sa douceur, est peint de couleurs trop vives.

300. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » p. 481

Il fut soutenu dans cette entreprise par feu M. le Duc d’Orleans, père de celui d’aujourd’hui ; & ce fut par la protection de ce Prince qu’il obtint de la Cour de Madrid tous les Mémoires dont il avoit besoin.

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