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1122. (1867) Nouveaux lundis. Tome IX « Entretiens sur l’histoire, — Antiquité et Moyen Âge — Par M. J. Zeller. »

Berger et Havet, à l’École normale, avant de le répéter à la Faculté des Lettres et au Collège de France… Enfin, M. 

1123. (1868) Nouveaux lundis. Tome X « De la poésie en 1865. (suite et fin.) »

Cambouliu, professeur à la Faculté des Lettres de Montpellier, a écrit à l’un de ses amis, à l’occasion de ce mien jugement : « … Il n’y a rien en effet chez les Félibres de comparable à Mistral (à qui j’ai consacré cet hiver une leçon qui a eu un grand succès), et Jasmin a largement obtenu tout ce qu’il méritait, — j’oserai même ajouter plus qu’il ne méritait ; car je vous avoue franchement que je ne le tiens pas en très haute estime et que je ne puis guère voir en lui qu’un écolier de nos maîtres parlant patois ; je mets une grande différence entre lui et l’auteur de Mireïo, qui est, celui-là, un véritable poëte.

1124. (1868) Nouveaux lundis. Tome X « Les cinq derniers mois de la vie de Racine. (suite et fin.) »

N’est-ce pas un hors-d’œuvre que je suis venu offrir devant des générations ailleurs occupées, et dont la faculté d’admiration est engagée dans des voies toutes différentes ?

1125. (1869) Nouveaux lundis. Tome XI « Œuvres choisies de Charles Loyson, publiées par M. Émile Grimaud »

Ce jeune auteur possède à un remarquable degré la faculté du détail ; il est armé d’un instrument d’investigation très-fin, et il a poussé plus d’une fois la précision jusqu’au piquant.

1126. (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « M. EDGAR QUINET.— Napoléon, poëme. — » pp. 307-326

Mais la France, depuis les ébranlements de la Révolution et de l’Empire, a semblé acquérir, du côté de l’imagination et du penchant au merveilleux, une faculté nouvelle.

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