Roger Marx m’entretient de la danseuse Loïe Fuller, qui le fréquente, et qui aurait un véritable goût d’art, s’étendant de sa danse à un tableau, à un bronze, et me dit, que rien n’est amusant comme une répétition, où elle essaie les couleurs de l’arc-en-ciel, dans lesquelles elle va développer la grâce de ses attitudes.
Il essaya de la fixer en recueillant ses plus pittoresques chroniques parisiennes sous le titre des Odeurs de Paris.
Qu’on essaie de lire sans s’arrêter vingt pages de Leconte de Lisle : on ne résistera pas à cette musique dont la perfection uniforme constitue précisément, au point de vue de l’esthétique scientifique, une imperfection.
Martens en a essayé d’autres, mais en de meilleures conditions ; car il plaça ses graines dans une boîte et la boîte même dans la mer ; de sorte qu’elles furent alternativement mouillées, puis exposées à l’air comme de véritables plantes flottantes.
J’essaye pourtant, mais c’est arbitraire : Vigny, le Rêve ; Lamartine, la Rêverie ; Musset, l’Amour ; Baudelaire, la Volupté ; et Hugo ?