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837. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — H — article » pp. 489-496

Je pourrois, à mon tour, lui rappeler les anecdotes qu’il m’apprenoit chaque jour sur le compte des Philosophes, les plaisanteries que nous en faisions ensemble, les éloges qu’il a donnés à des Productions où ils étoient attaqués.

838. (1888) Préfaces et manifestes littéraires « Art français » pp. 243-257

Ce sont des journées entières passées ensemble, des soirées où nous nous attardions, oublieux de l’heure et de la dernière gondole de Versailles ; ce sont les lentes et successives retrouvailles d’un passé, revenant à Gavarni au coin de son feu, ou au détour d’une allée de son jardin, — une biographie, pour ainsi dire parlée, — où la parole du causeur, de l’homme qui se raconte, est notée avec la fidélité d’un sténographe.

839. (1885) Préfaces tirées des Œuvres complètes de Victor Hugo « Préfaces des pièces de théâtre — Préface de « Marie Tudor » (1833) »

Le but du poète dramatique, quel que soit d’ailleurs l’ensemble de ses idées sur l’art, doit donc toujours être, avant tout, de chercher le grand, comme Corneille, ou le vrai, comme Molière ; ou, mieux encore, et c’est ici le plus haut sommet où puisse monter le génie, d’atteindre tout à la fois le grand et le vrai, le grand dans le vrai, le vrai dans le grand, comme Shakspeare.

840. (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome I « Mémoires pour servir à l’histoire des gens-de-lettres ; et principalement de leurs querelles. Querelles particulières, ou querelles d’auteur à auteur. — Louise Labbé, et Clémence de Bourges. » pp. 157-164

Et cependant vous commandons vivre amiablement ensemble, sans vous outrager l’un l’autre.

841. (1824) Notes sur les fables de La Fontaine « Livre troisième. »

, n’est pas une tournure bien poétique ni bien française : cependant elle ne déplaît pas, parce qu’elle évite cette phrase : depuis le temps où nous étions ensemble dans la Thrace.

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