Celui qui est là l’empêchera de partir », en lui mettant la main sur sa ceinture.
Pour toute femme et pour tout lecteur, une pareille apparition pourrait empêcher à jamais l’amour de l’une et l’intérêt de l’autre.
Je ne dis pas qu’un jour le jeune écrivain, plus avancé dans la vie et dans l’expérience d’écrire, ne baissera pas de quelques tons une corde de lyre qu’il tend quelquefois trop ; je ne dis pas qu’il penchera toujours vers cette préciosité dont il ne faut pas dire trop de mal, après tout, puisqu’elle nous empêche, par un ressaut et un cabrement, de tomber dans ce vilain abîme du commun qui n’est qu’un trou, et dans lequel nous tomberions tous, comme des capucins de cartes, si nous ne nous rejetions pas entièrement de l’autre côté Mais je dis qu’il continuera d’être distingué, fût-ce malgré lui ; car la distinction est la chose, quand elle est en nous, la plus difficile à supprimer.
Je ne puis le comprendre ni en déterminer positivement la raison ; mais souvent nous trouvons dans l’histoire, et même dans plus d’une partie moderne de l’histoire, la preuve de l’immense puissance des contagions, de l’empoisonnement par l’atmosphère morale, et je ne puis m’empêcher de remarquer (mais sans affectation, sans pédantisme, sans visée positive comme de prouver que Brueghel a pu voir le diable en personne) que cette prodigieuse floraison de monstruosités coïncide de la manière la plus singulière avec la fameuse et historique épidémie des sorciers.
La vanité seule et le souci de l’opinion t’empêchent de faire ce dont tu meurs d’envie. […] Cela ne l’empêche pas d’aimer toujours son mari. […] Or, cela ne l’empêche point de faire la cour la plus vive à la femme de son meilleur ami. […] Car le terre-neuve veillait sous l’amoureux, et il n’a pu s’empêcher, en passant sur le port, de sauver un pêcheur à la ligne qui se noyait. […] Il est ivre de sa foi nouvelle, et cela ne l’empêche pas d’adorer sa femme.