L’appareil des symptômes qui s’y déroulent, les hallucinations, les tristesses, les craintes qui en font un terrible drame de Phobie… la Phobie de l’invisible, tout cela est vrai, effrayamment vrai.
» Et Greuze peignait en effet des drames édifiants et ennuyeux comme le Père de famille.
Voici l’Escarpolette, petit drame en cinq tableaux. 1er tableau : une petite fille se balance sur une escarpolette. 2e tableau : le poète rêve ; il voit maintenant deux amoureux sur l’escarpolette. 3e tableau : « Bon !
Je trouve des passions singulières et d’une énergie féroce ; mais de tous ces drames vous n’extrairez pas, j’en ai peur, une goutte de vraie pitié ni de simple tendresse.
Voici peut-être la vue la plus originale et la plus féconde du livre de Michelet : « L’Amour n’est pas une crise, un drame en un acte.