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1117. (1866) Nouveaux lundis. Tome V « M. Octave Feuillet »

Est-ce donc qu’il n’y a pas une autre Victime humaine et divine qui suffit pour tous ?

1118. (1866) Nouveaux lundis. Tome V « La Grèce en 1863 par M. A. Grenier. »

… » Lui qui, dans le dernier chant de Childe Harold tout entier consacré à la glorification de l’Italie, appellera Rome une « mère sans enfants, la Niobé des nations », il avait fait auparavant, de la Grèce morte, cette admirable et divine comparaison avec une femme dont la beauté se conserve encore, dans une indéfinissable nuance de calme, de douceur et de majesté, pendant les premières heures du moins qui suivent le dernier soupir : « Tel est l’aspect de ce rivage, s’écrie-t-il ; c’est la Grèce encore, mais non plus la Grèce vivante.

1119. (1866) Nouveaux lundis. Tome V « La comtesse d’Albany par M. Saint-René Taillandier. »

On me reproche l’obscurité ; mais vienne la liberté, et je serai clair. » C’est un forgeron de poésie qu’Alfieri ; mais il y a des forgerons divins, et il en est un.

1120. (1868) Nouveaux lundis. Tome X « De la poésie en 1865. (suite.) »

Il me semblait que je pleurais avec un ami dont la douleur était la même, et que nos sanglots éclataient sous le poids d’une commune destinée ; tant il est vrai que la nature même, ce poëme de l’Éternel, n’a qu’un chant de désolation pour l’âme qui s’est une fois éloignée de son divin Auteur ! 

1121. (1868) Nouveaux lundis. Tome X « De la poésie en 1865. (suite et fin.) »

Cette beauté blanche et vermeille, Qui des heures fait des instants, Divine femme de trente ans, Dont la grâce est une merveille ; Que j’aime et trouve sans pareille ; Oh !

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