C’est d’ailleurs, ainsi que l’agriculture, le sujet de deux discours faciles à faire. […] Le discours sur l’économique serait trop court, si les premiers principes de l’agriculture et du commerce ne s’y trouvaient pas.
Le gendre paraît le plus touché, parce que c’est à lui que le malade adresse ses discours et ses regards. […] Cela justifie le bon choix qu’il a fait pour sa fille ; c’est la vraie cause de l’attendrissement de son visage, de son regard et du discours qu’il lui tient.
Témoin les beaux vers du Discours au Roi, beaux surtout parce qu’ils « se sentent de la hauteur du cœur » d’où ils sont sortis. […] En nommant Bossuet précepteur du dauphin, Louis XIV provoqua le Discours sur l’histoire universelle. […] Les deux antiquités sont de moitié dans le Discours sur l’histoire universelle, et l’esprit propre à chacune semble y avoir dit son dernier mot. […] Discours au Roi. […] Discours de réception à l’Académie française.
Complices s’ils acceptent, suspects de royauté s’ils refusent, ils commencent par refuser ; ils préparent par des discours sublimes la défense du roi menacé, puis ils cèdent, non par lâcheté, mais par une très fausse et très criminelle politique de parti, qui croit sauver des milliers de têtes en en concédant une à la république. […] Aussi je ne me déclarai point républicain, mais populaire, et dans un discours prononcé à un banquet célèbre qui me fut donné à Mâcon par les délégués de trois ou quatre provinces réunies (banquet littéraire qu’il ne faut pas confondre avec les banquets politiques organisés par la coalition parlementaire), dans ce discours, dis-je, qui fit tressaillir la France par la hardiesse des idées et de l’accent, je conclus à dompter la monarchie par la force de l’opinion, et non à la détruire. […] Mais remontons de quelques mois, au moment où, en écrivant les Girondins, je faisais ce discours épique, cette discussion en récit qui devait produire et qui produisit une émotion plus grande et plus durable que cent discours de tribune.
Deuxième discours. […] Nous donnons ce Discours tel qu’il parut, en 1831, dans la Revue Encyclopédique, cahiers de novembre et de décembre. […] Ce titre Aux Artistes indique assez qu’il aurait dû être question, dans ce Discours, de tous les beaux-arts, et non pas seulement de la poésie proprement dite. […] Au surplus les considérations sur l’art, renfermées dans ce Discours, auraient besoin d’être développées plus largement. Quant à la poésie du style, en particulier, nous l’avons déjà fait autrefois dans un article inséré dans l’ancien Globe. — Voy. l’Appendice a la suite de ces Discours [De la poésie de style].