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479. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — L — article » pp. 100-103

Il est donc bien plus digne des soins de quiconque est né avec du talent, de ne pas s’asservir à rendre un Original mot à mot, phrase par phrase, idée par idée, image par image.

480. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » pp. 308-311

Les Elémens de l’Histoire de France en sont dignes sur-tout, parce qu’ils réunissent le mérite de l’abrégé, à l’attention de ne laisser échapper aucun fait intéressant, comme à l’art de les bien présenter.

481. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » pp. 489-492

Peut-être est-ce en faveur de son caractere, qu’on a jugé Perrault digne d’être agrégé au Corps philosophique.

482. (1913) Le bovarysme « Quatrième partie : Le Réel — I »

Cet état que l’on convoitait et qui seul semblait digne de susciter et d’orienter l’aspiration humaine devait être procuré par la connaissance et la possession de la vérité.

483. (1802) Études sur Molière pp. -355

Quels sont, va-t-on me demander, les traits dignes d’être distingués dans l’ouvrage français ? […] Le spectateur, forcé d’écouter Alceste, pour rire ensuite avec le fagotier, sentit peu à peu tout le mérite du premier, et le philosophe moral lui parut enfin digne d’occuper la scène, sans le secours du bouffon. […] Enfin, qu’elle ouvre le livre, elle y trouvera, avant le vers dont il s’agit, cette note digne de quelque considération : Dorine, à part. […] Elle eut le plus grand succès ; les jaloux ne la trouvèrent pas digne de leur colère ; ce n’est qu’une farce, disaient-ils ; eh ! […] Molière possédait si bien l’art de s’approprier tout ce qu’il trouvait digne de lui !

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