Tel Jupiter, du haut de la voûte azurée, Fait part de sa puissance aux Dieux de l’Empirée : Pouvant d’un seul regard éclairer l’Univers, Il cede à d’autres mains le Char de la lumiere, Qui doit, dans sa carriere, Féconder de ses feux & la terre & les mers.
Euphranor peignit les douze dieux, Thésée donnant des lois, et les batailles de Cadmée, de Leuctres et de Mantinée.
N’objectez pas que les dieux helléniques sont blancs et que la Vénus de Praxitèle n’a pas des formes hottentotes. […] Ils ne crurent pas pouvoir rejeter les dieux de l’hellénisme sans se livrer à un carnage de chefs-d’œuvre. […] Dans la campagne, les païens sont plus méchants : ils se défendent et défendent les images de leur dieux. […] Il admettait parfaitement les dieux de l’Olympe, et M. […] M. de Pomairols avait su faire sa part au dieu Pan, lui réserver son petit domaine.
— que « les dieux, gracieusement, nous donnent pour rien tel premiers vers », laissant à notre industrie le soin de « façonner le second ». Paul Valéry, m’écrit Fagus, croit à l’inspiration, au vers initial jeté comme un coup de dés par le hasard des dieux. Les dieux ne nous donnent rien. on leur arrache…. etc : pourquoi fallait-il qu’elle se laissât saisir ? […] S’il l’arrache aux dieux, c’est donc que les dieux la lui ont montrée. […] Les dieux ne nous donnent ni le second ni le premier.
Tu lui serais un dieu. » Hugo avait su exprimer dans Notre-Dame la rivalité sociale de l’architecture et des lettres ; Valéry songerait à une rivalité technique du monument et de la page. […] Fin suprême, étincellement Qui par les monstres et les dieux, Proclame universellement Les grands actes qui sont aux Cieux ! […] Où sont les chaînes et où est le dieu ? […] Dieux ! […] … Je renouvelle en moi mes énigmes, mes dieux, Mes pas interrompus de paroles aux cieux.