Alors ils n’en demanderaient pas si long. Ils n’en demanderaient pas tant. Ils ne demanderaient pas leur compte. Ils ne demanderaient pas leur reste. […] Depuis le temps que l’on me le demande.
» demande V. […] » Les assistants furent assez étonnés, et Wordsworth, avant de boire, demanda une explication. […] La loi économique de l’offre et de la demande règle la production artistique comme toutes les autres ; seulement les demandes changent suivant le milieu d’où elles partent. […] C’est à la psychologie qu’il faut demander cette fois la solution du problème. […] Les romantiques demandaient autrefois à l’artiste d’avoir, comme disait Th.
Le vieux et brave Friant, ce modèle des divisionnaires dans la main de l’Empereur, en avait, jugé avec son coup d’œil exercé : « Sire, nous ne « viendrons jamais à bout de ces gens-là, si vous ne les « prenez à revers, au moyen de l’un des corps dont « vous disposez. » — « Sois tranquille », lui répondit Napoléon ; « j’ai ordonné ce mouvement trois fois, et « je vais l’ordonner une quatrième. » C’était le corps de d’Erlon que Napoléon avait demandé à Ney dès trois heures un quart ; un ordre rédigé par le maréchal. […] Peut-être eût-il fallu le dire plus, nettement encore, le demander expressément à Ney, et un major-général plus rompu au métier aurait appelé les gens et les corps par leur nom. […] Il crut qu’on lui demandait un suprême effort aux Quatre-Bras contre les Anglais, pour pouvoir ensuite, apparemment, se porter sur les derrières de l’autre ennemi, les Prussiens, et, au lieu de ralentir son action et de se borner, comme il le fit plus tard à la fin de la journée et après des prodiges de valeur perdue, à une solide défensive, il songea à ramasser ses forces pour porter un rude coup devant lui ; dans cette préoccupation unique et absolue, il envoya dire à d’Erlon, à ce même chef qu’un ordre de l’Empereur remis par Labédoyère dirigeait en ce moment vers le moulin de Bry, à dos de l’armée prussienne, de revenir en toute hâte aux Quatre-Bras : c’était un contresens.
Drouot demandait deux ou trois heures : ce qui fit que l’action ne commença qu’à onze heures et demie ou midi. […] Au dernier terme, il ne faut plus à Ney qu’un effort pour saisir la victoire ; les lignes anglaises sont trouées ou ébranlées de toutes parts ; la première ligne, la seconde est rompue, il ne reste à percer que la troisième et dernière ; un peu d’infanterie déciderait tout : Ney en fait demander en toute hâte à Napoléon par son aide de camp Heymès. « De l’infanterie ! […] Et puis, quand toute cette troupe, ces 10,000 hommes de superbe cavalerie, dans la main du plus brave des hommes, plus furieux et plus enragé d’héroïsme à cette heure suprême qu’on ne l’avait jamais vu en aucune rencontre, eurent chargé et rechargé maintes fois, eurent fait des miracles, eurent ouvert mainte et mainte brèche dans les rangs de la plus tenace des infanteries et en face du plus inébranlable des chefs de guerre dont la grandeur dans l’histoire est d’avoir résisté et vaincu ce jour-là ; quand Ney, après des heures tumultueuses que nulle montre exacte n’a comptées, se sentit à bout d’efforts, son quatrième cheval tué sous lui, à pied, son habit percé de balles et lui-même là-dessous comme invulnérable, il avait envoyé son aide de camp Heymès demander à Napoléon ce renfort d’infanterie, et Napoléon avait fait la réponse désespérée, inexorable.
Je me demanderais pas mieux que d’y croire, mais j’avoue qu’à part M. […] » Il aimait la guerre, il la faisait et on le lui rendait. — Si par là l’on entend diviser le procès, mettre les parties dos à dos et partager jusqu’à un certain point les torts, je ne demande pas mieux et je n’ai rien à opposer. […] Et, pour finir, je demande à citer sans plus de façon la réponse même que je fis aux objections de M.