Même la lutte avait pris un degré de violence tel et un caractère si nettement déterminé, qu’on désignait sous le nom de décadents tous ceux qui s’attaquaient à la littérature pompière et prudhommesque où s’illustraient MM. […] « Je savais qu’à défaut de sentiments socialistes, tous les hommes de notre génération avaient au plus haut degré le désir du nouveau, la soif de l’inconnu.
Pour la première fois, nous nous voyons transportés avec lui sur cette terrible Montagne, qui ne nous avait jamais apparu qu’à distance, environnée de tonnerres et d’éclairs ; nous en montons tous les degrés, nous l’explorons comme un volcan éteint ; et, il faut en convenir, bien qu’effrayés nous-mêmes de cette hauteur inaccoutumée, nous comprenons enfin qu’on a pu voir de là les choses sous un aspect tout particulier, et les juger autrement que d’en bas.
Cette ignorance va à un degré incroyable, que ceux-là seuls qui ont interrogé des candidats aux examens peuvent soupçonner.
Je sais que, entre l’égoïsme où nous vivons presque tous et la charité parfaite, l’entier dépouillement des saints, la distance est grande, et les degrés nombreux et rudes.
Dierx — familier des bois jaunissants où s’accroît le mystère, sous un jour qui s’atténue par degrés — est, ayant tout, le poète crépusculaire et automnal.