Dans ce beau temple, objet de tous leurs désirs, ils ne trouvaient souvent que l’avanie.
L’idée d’un plaisir s’appelle désir ; l’idée d’une douleur s’appelle aversion.
Son grand problème c’est de déterminer non pas jusqu’où cette loi s’étend, car elle s’étend atout, — idées, émotions, désirs, volitions, etc. — mais combien de phénomènes mentaux elle est capable d’expliquer ; et comment elle les explique.
Une telle accusation ne peut tomber avec justice que sur l’esprit caustique qui s’exerce à mortifier l’amour-propre, sans se proposer d’autre but que celui de mortifier : le nôtre a été constamment d’instruire & de corriger, s’il étoit possible ; tout ce que nous avons dit a été animé par ce désir, & dirigé vers cet objet.
leur désir d’action ne débordera-t-il leur œuvre ?