Il est donc incontestable que la structure cérébrale n’est pas due seulement à des modifications produites par l’exercice et l’habitude, mais qu’elle est due encore à des accidents moléculaires ; dans les deux cas, d’ailleurs, c’est l’hérédité qui fixe les résultats. […] Sommes-nous tout au moins un composé de quelque chose de réel, quoi que ce soit d’ailleurs, matière ou esprit, hydrogène, oxygène, azote, carbone, — ou sensation, émotion, volonté ? […] Si d’ailleurs on admet, avec Spencer, que l’identité avec soi est une loi de tout ce qui fait partie de l’univers, pourquoi ne pas admettre qu’elle est, par cela même, une loi essentielle du fait de conscience et de notre constitution intellectuelle ? […] L’expérience, d’ailleurs, apprend à l’animal que des changements qui paraissaient d’abord indifférents, comme la simple vue d’un autre animal, ont été suivis d’autres changements douloureux, tel qu’un coup de dent reçu. […] Le principe de l’uniformité ne peut d’ailleurs exclure a priori la possibilité du changement dans l’univers ; car alors il ne serait pas vrai.
Sans craindre la contradiction d’ailleurs, il déclarait aussi que « la poétique est perfectible » tout en assurant quelques lignes plus loin « qu’il a lieu de penser que la technique du langage poétique est achevée » «4. […] Je puis dire, après d’autres d’ailleurs, que la théorie de l’Instrumentation verbale, la première en date, orienta alors la généralité des poètes nouveaux vers leurs recherches de musique verbale et d’expressives Rythmiques, et sur les diverses théories postérieures eut initialement action19. […] En l’art de Moréas, à cette heure, venaient valeureusement s’unir, et la manière prosodique de Verlaine, devenue en lui plus complexe et mieux déterminée, et la pensée de Mallarmé, avec souvenir de Baudelaire de qui d’ailleurs Mallarmé avait procédé aussi, initialement. […] Il n’a d’ailleurs été que le premier à relever de mon appel en cette direction, dont maints poètes depuis se sont plus ou moins inspirés. […] D’ailleurs, en 1887 même, quand paraît ma revue, Ecrits pour l’Art (janvier 1887), qui pendant six mois l’idée de Symbole, de Mallarmé, n’étant point encore représentative d’Ecole soutiennent également l’art de Mallarmé : de Régnier et Viélé-Griffin, « Symbolistes » de demain au Mercure de France, ne connaissent que cet art Mallarméen, et la théorie instrumentale, « cette association harmonique du vers que réalise M.
Flint, abondante et décisive, et n’exclut pas d’ailleurs une profonde admiration pour le chef de l’école éclectique française. […] A elle seule, elle ne peut que faire sortir le même du même ; les lois en sont d’ailleurs encore trop peu connues pour qu’on puisse asseoir sur elles aucune théorie. […] Cette notion de finalité est d’ailleurs loin d’être stérile entre les mains d’Aristote. […] D’ailleurs la langue ne lui fournit qu’un vocabulaire insuffisant. […] Ces causes, d’ailleurs, Aristote ne les a pas entièrement ignorées.
D’ailleurs, on sent si bien que le but qu’il poursuit l’autorise à négliger les détails de la perfection technique ! […] Toutes traduisent d’ailleurs une unité de sentiment un peu monotone, mais combien séduisante ! […] » D’ailleurs, les Mille avançaient de succès en succès : Calatafimi, Palerme, Milazzo, Garibaldi rappelle tous ces noms avec une dramatique émotion. […] D’ailleurs, l’auteur de Delitti, — à mon sens le meilleur écrit de M. […] Elle est d’ailleurs si évidente et si nécessaire que je ne puis éviter de la reproduire.
On dirait d’ailleurs que M. […] Et, d’ailleurs, tu n’es pas en état d’établir cette balance. […] Je suis sûr de toi, et d’ailleurs je ne suis pas fâché qu’un duc t’ait remarquée, car cela me pose. […] Vos coquetteries sont d’ailleurs des promesses que vous devez tenir si vous êtes honnête. […] Moi aussi, d’ailleurs.