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1848. (1916) Les idées et les hommes. Troisième série pp. 1-315

« Lèvres humides, œil fureteur, cheveux rebelles, un brin de moustache satisfaite, et surtout un nez comique, un long nez tordu mais honnête, ne reniflant que d’une narine mais de la bonne, si bien qu’il semblait que c’était le front, curieux et remuant, qui laissait pendre ce nez à gauche, pour pêcher dans le cœur des idées et des mots… » Il y a là de la recherche, et de la trouvaille. […] Joachim Merlant : le moraliste le plus curieux de la sensibilité littéraire. […] De ces deux façons, il devait séduire une intelligence à la fois positive et curieuse de mystère.

1849. (1908) Après le naturalisme

Et d’ici peu, le symbolisme ne sera plus connu que des érudits, des curieux comme il s’en trouve de nos jours qui cherchent à reconstituer la société, les entretiens et les Lettres des précieux et des précieuses de l’hôtel de Rambouillet.

1850. (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre I. Les origines. — Chapitre II. Les Normands. » pp. 72-164

Quarante mille vers, ce n’est point trop pour contenter leur bavardage : esprit facile, abondant, curieux, conteur, tel est le génie de la race ; les Gaulois, leurs pères, arrêtaient les voyageurs sur les routes pour leur faire conter des nouvelles, et se piquaient comme eux « de bien se battre et de facilement parler. » Avec les poëmes de chevalerie, ils ont la chevalerie ; d’abord, il est vrai, parce qu’ils sont robustes, et qu’un homme fort aime à se prouver sa force en assommant ses voisins ; mais aussi par désir de renommée et par point d’honneur.

1851. (1866) Cours familier de littérature. XXII « CXXXIIe entretien. Littérature russe. Ivan Tourgueneff (suite) » pp. 317-378

demandera peut-être le lecteur curieux.

1852. (1883) La Réforme intellectuelle et morale de la France

Les universités allemandes présentent à ce sujet le spectacle le plus curieux.

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