Philarète Chasles Souvent remarqué par les critiques et apprécié de la partie saine du public, ce poète, dont les premiers pas avaient été contrariés par la Révolution, eut à subir en outre les conséquences non moins fatales pour son talent d’un changement de mode littéraire.
[La Critique (5 septembre 1898).]
Documents de critique expérimentale : Parsifal, par Charles et Pierre Bonnier Préface à Lohengrin, par Alfred Ernst Mois wagnérien de Paris Correspondances III — Avril 1887 Notes et nouvelles (E.
Sa critique des Entretiens d’Ariste & d’Eugene annonce un esprit plein de finesse, de goût, & sur-tout de politesse : cet Ouvrage sera toujours un exemple à proposer aux Ecrivains de notre temps, qui manquent souvent de ces trois qualités, auxquelles ils substituent la jalousie, la mauvaise foi, & la grossiéreté.
En qualité de Poëte, sa gloire ne seroit point à l’épreuve de la critique ; une versification dure & négligée, peu de sentiment, point de pathétique, aucun de ces grands mouvemens qui excitent les passions & annoncent le génie, des ressorts plus dignes de Thalie que de Melpomene, seroient des défauts qui le rendroient inférieur à plusieurs de nos Poëtes Tragiques, qui n’ont pas cependant réussi comme lui.