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1151. (1887) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (deuxième série). IX « Raymond Brucker. Les Docteurs du jour devant la Famille » pp. 149-165

Que peut-on espérer ou que doit-on craindre ?

1152. (1887) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (deuxième série). IX « M. Th. Ribot. La Philosophie de Schopenhauer » pp. 281-296

Comme il n’était pas encore le futur bouddhiste détaché assez de son moi pour ne pas craindre le choléra, il détala comme s’il eût eu les quatre pieds d’un lièvre, quand cette maladie parut à Berlin, et il se retira à Francfort-sur-le-Mein, où il resta vingt-neuf ans, comme Kant à Kœnigsberg, mais moins tranquille.

1153. (1899) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (troisième série). XVII « L’abbé Christophe »

Mais si on n’a pas craint d’aborder cette vaste histoire, l’histoire des nations les plus colossalement grandes paraît mince à côté.

1154. (1862) Les œuvres et les hommes. Les poètes (première série). III « M. Edgar Quinet. L’Enchanteur Merlin »

Quinet ne craint pas d’y parler, en son propre et privé nom, à son lecteur, comme fait l’Arioste, et il s’y permet, avec un esprit à gros ventre, d’imiter les ondulations ravissantes de ce demi-Dieu de la grâce et de la fantaisie, moitié cygne et moitié serpent !

1155. (1889) Les œuvres et les hommes. Les poètes (deuxième série). XI « Agrippa d’Aubigné »

IV Et ce sera, je le crains bien, le sort d’Agrippa d’Aubigné, de cet homme racine et souche de poètes et de poésies plutôt que grand poète.

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