Il convient en plus d’un endroit qu’il n’est pas précisément courageux, qu’il n’est pas né pour l’héroïsme. […] On convient, pour le tranquilliser, que M.
Le poëte a dû trouver souvent son champ un peu raboteux et pierreux ; il n’en conviendra pas ; on s’aperçoit toutefois que le troupeau de brebis, là-bas, est noir et maigre ; l’aspect se relève par un fond de verdeur et de puissance : O terre de granit, recouverte de chênes ! […] Plus d’une goutte généreuse demeure en réserve, comme il convient, au fond de l’amphore.
amour, bien dure départie — Me conviendra faire de la meilleure — Qui onques fut aimée ni servie ! […] Le début a du sentiment, j’en conviens : mais la suite est un discours moral, à la mode de nos odes classiques.
La couleur, à moins qu’effacée, annonce une sorte de matérielle présence dont ne s’accommode point le mystère de la légende et de la mélancolie : les teintes plates et amorties comme en réalisèrent les Florentins lui conviennent davantage, et M. de Régnier sait en disposer les degrés par des relations lumineuses d’une parfaite justesse. […] Quant aux vers de M. de Régnier, leurs attitudes mélancoliques conviennent au fond sévère et mystérieux des forêts.
D’un autre côté, madame de Montespan, toujours soupçonnée d’avoir eu peu d’amour pour le roi, était irritée de la préférence qu’elle entrevoyait pour une autre ; un éclat lui convenait, ne fût-ce que comme moyen de reconnaître ce qu’il lui restait de pouvoir et peut-être de rajeunir l’affection du roi. […] Madame de Sévigné ajoute : « Elles conviennent qu’il y a quelque chose, mais que tout est raccommodé (entre le roi et madame de Montespan).