Quand elle eut fini de chanter, le massa comprit de quelle fourberie il avait été la victime.
C’est la nature bien peinte, le cœur humain bien compris, la poésie, c’est-à-dire la beauté latente de la vie domestique bien chantée. […] Mais je ne te comprenais pas jusqu’à ce que tu eusses envoyé ta mère parler à mon père, jusqu’à ce que notre mariage fût conclu. […] ” » « L’orpheline comprend ce qu’il semble hésiter à lui dire ; elle accepte le titre de servante dans la maison de la mère d’Herman. […] ” « Le pasteur explique tout à la jeune fille et restitue le véritable sens aux propos mal compris du père.
La République de 1848 lui donna la joie de voir la France libre de se choisir un gouvernement ; il ne se fit pas les illusions des partis pressés de nouvelles chutes ; il ne participa ni aux illusions, ni aux fusions, ni aux conspirations ; il comprit que la fin du siècle était au tâtonnement, aux essais, aux déviations du peuple en tout sens. […] Est-ce l’effet de l’honneur mieux compris, ou d’une civilisation trop arriérée ? […] C’est ce que je ne comprenais pas encore en 1830, quand je fus reçu par lady Stanhope, et que je la crus une sublime insensée. C’est ce que je comprends aujourd’hui.
Vous comprenez, monsieur, qu’avec de pareilles gens et dans un si bon pays, notre bourse de voyage ne baissait pas vite ; mon mari, qui nous l’avait préparée à force d’économie sou par sou, depuis trois ans, était bien loin de compte avec nous. […] À ces mots, nous comprenions de quoi il s’agissait ; nous nous approchâmes à pas discrets de la chaumière, la porte était ouverte et nous entrâmes. […] Nous comprîmes par les descriptions que nous avons lues, que c’était l’endroit où votre mère, votre fille ramenée de Palestine, votre compagne enfin de cette vie, avaient été ensevelies et où le sentimental sculpteur Salomon avait élevé lui-même cette statue funéraire qui fait pleurer ceux qui la voient et qui fait sourire ceux qui espèrent. Les deux religieuses, en nous écoutant parler avec tant de connaissance de ce qui était dans la chapelle et dans le château, comprirent que nous étions de la maison, et s’attachèrent fortement à nous comme des personnes d’une même famille.
En lui voyant le visage d’un ange, il s’imagine qu’elle en a l’âme aussi : Là-haut, dans sa vertu, dans sa beauté première, Veille, sans tache encore, un ange de lumière ; Un être chaste et doux, à qui sur les chemins, Les passants à genoux devraient tendre les mains… Marion ne comprend pas très bien ce langage, différent de celui qu’elle a entendu jusqu’à ce jour. […] Quand elle comprend, un immense bouleversement se fait en elle. […] … ôtez à Hugo trente gros adjectifs, et toute sa poésie s’effondre comme un plafond auquel on enlève ses étais… Les femmes, il ne les aime pas ; les enfants, il ne les comprend pas ; la nature il ne la sent pas… Il dit d’une femme : « Elle me regarda de ce regard suprême qui reste à la beauté quand nous en triomphons ». […] Le nom intervint, en effet, dans les quelques paroles qui s’échangeaient entre mon auguste interlocuteur (Napoléon III) et moi : « Comprenez-vous, me dit l’Empereur, d’un air à la fois grave et légèrement railleur, qu’un homme de ce mérite fasse des vers comme ceux-ci : … J’en suis émerveillé Comme l’eau qu’il secoue aveugle un chien mouillé » ?