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648. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » pp. 500-501

« Quand on les lit, on ne comprend pas, dit cet Ecrivain, qu’il ait pu trouver du temps pour composer tant d’autres Ouvrages sur les matieres les plus importantes, & l’on est tenté de croire qu’il a passé sa vie à lire Homere & Virgile, dont il prend si bien le tour & le caractere ».

649. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » pp. 169-170

Qu'on lise l'Ode qu'il a composée sur ce sujet, & qui passe pour son chef-d'œuvre : on verra que ce n'est qu'une déclamation vague, un tissu de phrases détachées, d'expressions boursoufflées, qui ne disent rien, fumum ex fulgore, non ex fumo dare lucem, cogitat.

650. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » pp. 262-263

Son fils composa plus de Libelles que d'Ouvrages purement littéraires ; son style, en général, est de la derniere bassesse.

651. (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre second. De la sagesse poétique — Chapitre VIII. De la cosmographie poétique » pp. 231-232

Ils composèrent le monde de dieux du ciel, de l’enfer (dii superi, inferi), et de dieux intermédiaires (qui furent probablement ceux que les anciens Latins appelaient medioxumi).

652. (1940) Quatre études pp. -154

Pour recueillir les hymnes populaires que les poètes d’Italie composaient vers le même temps, il faudrait des volumes entiers. […] Il ne croyait pas que la poésie consistât à crier, à hurler, à orner de rimes par à peu près des vers composés à la douzaine, et si grossiers qu’on s’étonnerait plus tard, le moment des exaltations une fois passé, qu’on eût pu les prendre pour des vers. […] Quand Lamartine raconte qu’il emportait un crayon et du papier, pour composer ses poèmes en présence des spectacles qui l’inspiraient, il a l’air de s’étonner lui-même d’une telle attitude et il la note comme exceptionnelle et glorieuse. […] Les passions57, Charles Bonnet les cherchera jusque dans leur origine première, jusque dans les fibres qui composent les organes de nos sens. […] L’univers est formé par des éléments — c’est-à-dire par les plus petites parties de la matière au-delà desquelles une division n’est plus possible — dont l’union compose les corps.

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