Dans l’embarras de ce choix, elle rejeta tous ces patois et toutes ces ébauches de littérature romane, celtique, languedocienne, qui lui auraient donné du moins un caractère plus original, plus libre, plus propre à ses idées comme à ses mœurs, comme à son climat, et elle choisit le latin, souche commune et vieillie de tous ces idiomes, pour latiniser son mauvais français.
Elle avait l’amitié agréable, mais périlleuse ; tout ce qui s’y fiait était, tôt ou tard, déçu ; le roi lui-même, sur son lit de mort, n’échappa pas à cette loi commune : dès qu’il fut dans un état désespéré, elle le quitta pour Dieu.
Mais, tout en les distinguant avec une grande clairvoyance, ne serait-il pas tenté de leur trouver un trait commun qui permît de les réunir, en effet, dans un même cadre ? […] Et ainsi se détachent de la vie commune bien des esprits qui devraient y jouer le premier rôle. […] Non, car l’accomplissement d’une œuvre commune, un même effort d’ensemble pour faire avancer d’un pas l’humanité, voilà ce qui unit plus étroitement que le hasard aveugle de la naissance. […] Lui aussi n’admet plus la vie en commun, le zingueur ; seulement c’est lui qui quitte la maison au lieu d’en chasser sa femme.
L’homme de la colonne Vendôme redescend sur la terre, reparaît à son rang, dans l’humanité, tout près du commun des mortels, dans la corporation, éternellement comique, des maris. […] Cette répugnance lui était commune avec la plupart des contemporains de la Révolution. […] De très bonne heure, suivant certains rigoristes ; à sept ou huit ans, si l’on veut que ces enfants des tropiques soient de corps et d’âme de purs Hollandais ; un peu plus tard, selon la commune opinion, à dix ou douze ans pour les garçons, à seize ou dix-sept ans pour les filles. […] Kumé, plus grand que le commun des Japonais, respire la civilisation américaine.
Il est un feu sacré d’une nature particulière qui, chez quelques mortels privilégiés, accompagne et rehausse l’étincelle commune de la vie.