Ce lendemain dimanche, à trois heures de l’après-midi, la fête commença. […] S’il y a un art, c’est qu’il est impossible au lecteur de sentir l’endroit où la réalité cesse et où la fiction commence.
Il raconte comment son attention fut de bonne heure détournée des études classiques, auxquelles il commençait à s’adonner, par la vue d’un très jeune officier sortant de l’École polytechnique et dont l’épaulette le frappa. […] Arago nous expose la manière dont il conçoit l’éloge historique, à commencer par celui-là : « Ce n’est qu’une sorte de mémoire scientifique », disait-il, qu’il se propose de faire, « et dans lequel, à l’occasion des travaux de son confrère, il va examiner les progrès que plusieurs des branches les plus importantes de l’optique ont faits de nos jours. » Négligeant l’art des transitions, il divise en chapitres et avec des titres distincts la suite des matières qu’il se propose de parcourir, la biographie d’abord, puis les mémoires et travaux.
Il commence par montrer Jésus attendri au moment où il rentre dans la cité qui va le trahir, et pleurant sur Jérusalem ; puis il le montrera irrité et implacable, se vengeant ou laissant son Père le venger sur les murailles et sur les enfants de cette même Jérusalem. […] Il commence avec grandeur et par une large similitude : Comme on voit que de braves soldats, en quelques lieux écartés où les puissent avoir jetés les divers hasards de la guerre, ne laissent pas de marcher dans le temps préfix au rendez-vous de leurs troupes assigné par le général ; de même, le Sauveur Jésus, quand il vit son heure venue, se résolut de quitter toutes les autres contrées de la Palestine par lesquelles il allait prêchant la parole de vie ; et sachant très bien que telle était la volonté de son Père qu’il se vînt rendre dans Jérusalem, pour y subir peu de jours après la rigueur du dernier supplice, il tourna ses pas du côté de cette ville perfide, afin d’y célébrer cette Pâque éternellement mémorable et par l’institution de ses saints mystères et par l’effusion de son sang.
Félix Vicq d’Azyr, né en avril 1748 à Valognes en Normandie, d’un père médecin, commença ses études dans sa ville natale et vint les achever à Caen, où il fut condisciple en philosophie de Laplace, le grand géomètre. […] Chacun volontiers, en se mettant en marche, croit commencer sa campagne d’Italie.
Léopold Robert ne commença à s’en former un meilleur jugement que dans le voyage qu’il y fit pendant l’été de 1831. […] Il y a des choses de ce mauvais goût de Vincent qu’on ne digérera pas facilement ici, et c’est comme tu l’observes : on commence à bien tourner en ridicule le genre français.