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780. (1902) La poésie nouvelle

Il n’y a pas seulement du mystère au-delà des faits constatés, le mystère est au cœur même des stricts résultats de l’expérience.‌ […] tout le long du cœur. ‌ […] Que veut-il, que veut-il, ce cœur ! […] A mordre son propre cœur, il s’affole ; à force d’exaspérer son martyre, il le croit volontaire et il s’enivre alors d’orgueil révolté. […] Mais on le trouve, alors déjà, conscient de quelques-unes des idées qui lui tiendront toujours à cœur.‌

781. (1896) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Sixième série « Lamartine »

Ces deux volumes sont d’un vif agrément et, par endroits, d’une chaleur de coeur communicative. […] Le monde tressaille à cet hymne d’un poète inconnu et, soudain, tous les cœurs sont à lui. […] … Ô coeur ennemi de toi-même, Puisses-tu ne trouver jamais, Pauvre coeur, le mot du problème ! […] Nul coeur d’homme n’y est plus large que la tribu elle-même. […] Écoutez  et frémissez si le coeur vous en dit.

782. (1866) Nouveaux essais de critique et d’histoire (2e éd.)

On répondit aux faits évidents la main sur son cœur, en disant : « Mon cœur m’empêche de vous croire ». […] C’est le cœur et c’est aussi la grandeur de Virgile. […] C’est ce geste qui fond les cœurs ; c’est lui qui conquiert et qui sauve. […] Tout cela ne remuait que l’esprit et les nerfs ; c’était le cœur qu’il fallait toucher. […] Telle qu’elle est, elle offre encore assez d’attraits au cœur de l’homme.

783. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre IV. Que la critique doit être écrite avec zèle, et par des hommes de talent » pp. 136-215

On les a si longtemps abordées le cœur troublé, le chapeau bas ! […] — Vous savez cependant que je ne manque pas de cœur, et que je sais me servir de mon épée. […] Il n’est pas forcé de savoir par cœur L’Amour médecin ! […] — « Dans les ténèbres le cœur glisse. […] tu n’as pas de cœur ! 

784. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre III. — Du drame comique. Méditation d’un philosophe hégélien ou Voyage pittoresque à travers l’Esthétique de Hegel » pp. 111-177

Le cœur de l’homme peut être aussi le lieu de leur bonne harmonie. […] Là, le salut public refoule au fond du cœur d’un général d’armée la tendresse paternelle. […] L’analyse du cœur humain, la peinture des caractères remplacèrent sur la scène l’antique guerre des Dieux. […] En dehors de la chevalerie, il est accompli ; c’est un esprit sensé, c’est un cœur généreux, c’est un beau caractère. […] Le cœur de l’homme est grand et vaste.

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