Toute la suite de sa vie a montré qu’en cette occasion sa peine la plus sensible fut la perte des espérances qu’elle avait déjà conçues de ramener le roi à une conduite plus conforme aux sentiments de religion et de piété dont elle était pénétrée. » M. de Beausset se fonde sur les Mémoires de Saint-Simon, et il en cite l’extrait suivant : « Bossuet était un homme dont les vertus, la droiture et l’honneur étaient aussi inséparables que la science et la vaste érudition.
Les uns furent d’avis qu’il fallait exécuter sa prescription à la lettre, et ils citaient des exemples de stratèges vaincus ou vainqueurs, pour avoir rejeté ou accompli les ordres d’un Songe.
Je me bornerai aussi à indiquer, la relation immédiate qui s’établira entre la poésie humaine, d’une part et, d’autre part, un théâtre ou un roman humains dont on pourrait citer déjà maints exemples.
D’Aubignac, enchanté de voir le grand Corneille docile à ses avis, s’accoutume à le regarder comme son disciple, l’encourage, le cite avec complaisance dans sa Pratique du théâtre Cette attention marquée de d’Aubignac lui parut en devoir mériter une autre de la part de Corneille.
Nous savons qu’on ne manquera pas de rappeler quelques bulles du Saint-Siège, ou quelques décrets de la Sorbonne, qui condamnent telle ou telle découverte philosophique ; mais, aussi, combien ne pourrait-on pas citer d’arrêts de la cour de Rome en faveur de ces mêmes découvertes ?