Ainsi, pendant 263 pages, Jules Claretie recueille d’inestimables rognures d’ongles et — espérons que ça lui portera bonheur — avale, béat, les excréments desséchés de son grand-lama.
Il est clair que sultan léopard devait étrangler le lionceau, non-seulement comme léopard d’Apologue, c’est-à-dire qui raisonne ; mais il le devait même comme sultan, vu que sa majesté léoparde se devait tout entière au bonheur de ses peuples.
Maintenant, du milieu de cette paix profonde, Tournez les yeux : voyez dans les routes du monde, S’agiter les humains que travaille sans fruit Cet espoir obstiné du bonheur qui les fuit.
Et vous, quand aurez-vous le bonheur d’en dire autant ?
Si le sort ne m’eut donnée à vous, mon bonheur dépendoit de l’avoir pour époux.