[Revue blanche (année 1896).]
[Revue blanche (1896).]
Rien n’égalait la verve, la sève, l’entrain tour à tour sérieux et goguenard de ces écrits de Roumanille : Li Club (les Clubs), Li Partejaire (les Partageux), Quand dévé, fau paga (Quand vous devez, il faut payer), Un rouge et un blanc, La Férigoulo (le Thym)… Aujourd’hui, Roumanille nous offre deux nouveaux poèmes : Li Sounjarello (les Rêveuses) et La Part dau bon Diéu (La Part du bon Dieu).
Sa seconde Gaiety girl, colombier en deux couleurs seulement, dessin en noir, réservant blanc sur fond rouge, est bien la plus affriolante et la plus directe des annonces.
Et chacun a une belle affiche blanche à la porte de sa maison. […] — des figures de vierges passer dans leur tunique blanche. […] Mais j’en aime la douce poésie, le candide mystère et, si j’ose dire, l’obscurité blanche. […] Il y jette une poignée de farine blanche. […] Que sa tombe soit blanche et riante, qu’on y sculpte une lyre et qu’on y plante un jeune laurier !