/ 2917
1719. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — C — article » pp. 69-73

On a voulu justifier Madame Deshoulieres sur ce larcin, en accusant l’Auteur des Promenades d’être le vrai Plagiaire ; mais on oublioit que l’Edition des Poésies de Coutel a précédé de plusieurs années l’impression des premiers Ouvrages de Madame Deshoulieres.

1720. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — H — article » pp. 507-511

Il se démit de son Evêché, afin d’avoir plus de temps à donner à l’étude, & se retira ensuite à la Maison Professe des Jésuites de Paris, où il passa les vingt dernieres années de sa vie.

1721. (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome II « Bibliotheque d’un homme de goût — Chapitre XIII. Des Livres de Médecine, de Botanique, de Chymie, d’Anatomie, de Chirurgie, &c. » pp. 325-328

Les Mémoires de l’Académie de Chirurgie de Paris : collection beaucoup plus utile que tous les recueils de prose traînante & de vers boursouflés, dont d’insipides compilateurs ont inondé le public depuis quelques années.

1722. (1767) Salon de 1767 « Sculpture — Allegrain » p. 322

J’ai dit que la sculpture cette année était pauvre, je me suis trompé.

1723. (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Première partie — Section 16, de quelques tragedies dont le sujet est mal choisi » pp. 120-123

L’usage de ce qui se passe dans le monde et l’experience de nos amis au défaut de la nôtre, nous apprennent qu’une passion contente s’use tellement en douze années, qu’elle devient une simple habitude.

/ 2917