Sur le terrain allemand, c’est Schopenhauer, sur le terrain anglais, c’est J. […] Le romantisme français (sauf certaines parties d’art élégiaque, dues peut-être à l’influence allemande et à l’influence des romans anglais et provenant surtout du désir de plaire au peuple qui ne comprend dans l’art que la sensiblerie), le romantisme français a été une affectation de force, d’audace, de mouvement, d’agitation et de fracas. […] Il laisserait conquérir la France par l’Espagnol, l’Allemand ou l’Anglais, en disant : « Qu’est-ce que cela peut bien me faire ?
le tonnerre a grondé, l’étoile s’éclipse : Cent jours passés, un Anglais sous sa voile Voit tout sanglant tomber l’aigle abattu.
L’Angleterre nous avait devancés dans cette voie du matérialisme industriel et commercial ; seulement, bien plus sages que nous, les Anglais surent faire marcher leur gouvernement d’accord avec la nation, tandis que notre maladresse a été telle, que le gouvernement de notre choix a pu nous engager malgré nous dans la guerre.
On a longtemps interprété ce nom comme un développement de l’anglais « to whim », c’est-à-dire hennir, avec l’équivalence u=w qui est attestée ailleurs (avant des analyses plus récentes faisant apparaître la racine franco-latine homo/ homme (voir « Pléiade », Glossaire, p. 18).
Celui qui ose dire le contraire dans un livre (car au théâtre on ne le supporterait pas), celui-là offense la vérité anglaise, et est mis au ban de la société. […] Brasseur anglais, il invectivait Charles Ier ; étudiant de Salamanque, maudissait Philippe II ; ou, père sensible, s’indignait contre la Pompadour ; c’était le plus beau ! […] Elle avoue ses amants ; et elle les explique l’un après l’autre : Don Alphonse a été son premier amant, mais Cygneroi a été son premier amour ; puis elle a pris Lebonnard parce qu’elle était désespérée, et elle a pris lord Gamberfield, un Anglais un peu ridicule et pas jeune, parce que les goûts changent avec l’âge.