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268. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — V. — article » pp. 400-401

Outre cela, il fut décoré du titre d'Historiographe de France par Louis XIV, qui le chargea lui-même de continuer son Histoire, commencée par Racine & Boileau.

269. (1874) Premiers lundis. Tome I « Victor Hugo : Odes et ballades — II »

Racine lui-même, j’oserai l’affirmer, Racine, dans les chœurs d’Esther et d’Athalie, n’a pas fait passer tout ce que son âme avait conçu de mélodie céleste et d’onction sacrée.

270. (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Seconde partie — Section 22, que le public juge bien des poëmes et des tableaux en general. Du sentiment que nous avons pour connoître le mérite de ces ouvrages » pp. 323-340

Par exemple, un homme qui ne sçait pas que le même Pharnace qui s’étoit allié aux romains contre son pere Mithridate, fut dépoüillé honteusement de ses états par Jules Cesar quelques années après, n’est point frappé de la beauté des vers prophetiques que Racine fait proferer à Mithridate expirant. […] Les tragédies de Corneille et de Racine ne contiennent pas chacune quatre traits pareils à celui de Mithridate que nous avons cité.

271. (1885) Les œuvres et les hommes. Les critiques, ou les juges jugés. VI. « M. Antoine Campaux » pp. 301-314

Il avait le génie acéré de l’épigramme comme Racine, Racine surnommé le doux !

272. (1906) Les œuvres et les hommes. Poésie et poètes. XXIII « Auguste Vacquerie  »

Il s’y montre le Hugo du romantisme révolutionnaire et immuable, le Boileau déréglé, le législateur sans législation, le Despautère de l’enjambement, l’insulteur  éternel de Racine, dont il dit, par parenthèse : La feuille croît peu Dans l’œuvre qu’il gêne. Shakspeare est un chêne, Racine est un pieu !

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