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829. (1896) Journal des Goncourt. Tome IX (1892-1895 et index général) « Index général des noms cités dans les neuf volumes »

Molière, I, 315 ; II, 16, 32, 52, 58, 88, 151, 319, 327 ; IV, 239, 241 ; V, 24 ; VI, 67 ; VIII, 41, 90 ; IX, 25.

830. (1880) Goethe et Diderot « Diderot »

On connaît un peu mieux la personnalité de Molière, parce qu’il est moins grand ; cependant lui aussi a la faculté de l’effacement, lui aussi a le pouvoir impersonnel de rire quand son cœur est brisé, et de donner le change à ses larmes.

831. (1912) Réflexions sur quelques poètes pp. 6-302

On sait que Molière se souvint de Rotrou, en le surpassant dans l’Amphitryon.

832. (1925) Proses datées

Car cela nous est égal que Balzac écrive ou compose mal, qu’il mêle à ses qualités un romantisme saugrenu et un réalisme assez trivial ; tout ce que nous lui demandons c’est d’être ce qu’il est, avant tout, c’est-à-dire un prodigieux créateur d’êtres vivants, comme Shakespeare et comme Molière. […] On le meuble d’un bric-à-brac de fortune dont l’usurier, comme dans Molière, fournit quelques-unes des pièces.

833. (1924) Intérieurs : Baudelaire, Fromentin, Amiel

Comme Taine, il a mis admirablement en lumière le côté oratoire de Rubens, cet « ondoiement » et cette « flamme » dont Sainte-Beuve fait sur un registre symétrique le trait d’un Molière et d’un Bossuet. […] Plus généralement, on trouve dans Dominique quelque chose de la tragédie française, de même qu’on verrait au fond de Madame Bovary et de l’Éducation le comique triste de Molière.

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