Et pourquoi Molière s’est-il avisé d’écrire en vers ce divertissement sans prétention ? […] Molière ne me le dit pas : il devrait me le dire. […] Molière était bien heureux de n’avoir pas besoin de nous le dire. […] Molière prêtait son âme à Alceste ou à Clitandre, non à Scapin ni à Mascarille. […] Pas encore. « Le style de Molière, dit M. 

. — Le Monument de Molière (1843). — Réveil de la Pologne, chants des armes (1846). — Le Peuple (1848). — Ce qui est dans le cœur des femmes (1852). — Poème de la femme (1853-1856).

. — Molière et Bourdaloue (1877). — Œuvres poétiques (1878).

Qui sait si Shakespeareb, Molière et Schiller eussent existé sans Élisabeth, sans Louis XIV et sans le duc de Weimarc. […] Fouquet les aimait, lui… Mais déjà en rivalité avec Fouquet pour Mlle de La Vallièref, Louis XIV ne voulut pas l’être encore pour Molière et Racine. […] Il avait compris que Mlle de La Vallière pouvait le faire heureux, mais que Molière et Racine le feraient grand. Il fut donc plus jaloux de Molière et de Racine qu’il ne l’avait été de Mlle de La Vallière. […] Et alors, avec Corneille, Racine et Voltaire, joués trois jours de la semaine, avec Molière, Regnard et Beaumarchais, joués trois autres jours, le théâtre moderne devenait complètement inutile, et M. 

Jeudi dernier, 27, l’Académie française a donné le prix de poésie dont le sujet était l’Éloge ou le monument de Molière à un numéro 34 qui est connu d’avance pour être de madame Louise Colet, poëte déjà une fois lauréat.