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1571. (1900) La méthode scientifique de l’histoire littéraire « Troisième partie. Étude de la littérature dans une époque donnée causes et lois de l’évolution littéraire — Chapitre XX. Conclusion » pp. 499-500

Voir les lettres que nous avons échangées à ce sujet : Études sur la France contemporaine, pp. 52-62.

1572. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — V. — article » pp. 448-452

Voisenon, [Claude-Henri de Fusée de] Doyen du Chapitre de Boulogne-sur-Mer, Ministre du Prince Evêque de Spire à la Cour de France, de l’Académie Françoise, mort en 1775.

1573. (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Première partie — Section 19, de la galanterie qui est dans nos poëmes » pp. 143-146

Monsieur Woton qui a pris le parti des modernes en Angleterre, et qui a défendu contre Mylord Orery la même cause que Monsieur Perrault avoit soutenuë en France, abandonna son compagnon d’armes dans cette lice.

1574. (1926) La poésie pure. Éclaircissements pp. 9-166

Je suis encore plus reconnaissant à M. de Souza de nous avoir cédé le meilleur, le plus définitif des éclaircissements, l’article magistral grandement développé, qu’a publié le mercure de France du 1er février 1925. […] Marcel Jousse, dont les recherches et les découvertes ne seront pas moins précieuses — m’a dit plusieurs fois, au laboratoire de phonétique expérimentale du collège de France : dans toutes les questions touchant l’acoustique, et, en particulier, le timbre des voyelles françaises d’après la prononciation parisienne, nul n’est plus averti que M.  […] Souday ses articles de France et d’Amérique, je le retrouve ainsi, quoique moins impétueux, plus hésitant dans une vingtaine des lettres qu’on a bien voulu m’écrire. […] France a, d’ailleurs, été parfois plus qu’un artiste… un poète donc ? […] (Oxford lectures on poetry, 1909, p. 169 ; ) " mais on peut remonter, même en France, plus haut que les premiers grands romantiques, avant que Chateaubriand n’eût défini la poésie : l’art de choisir et de " cacher.

1575. (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « Benjamin Constant et madame de Charrière »

je l’ignore ; mais je n’en désespérerai que lorsque nous nous serons arrêtés au mal. » Remarquez ce nous par lequel il s’associe tout à fait à la France ; il me semble dans tout ceci que le politique, le tribun se dégage et commence à poindre. […] Une preuve qu’elle n’est pas uniquement une machine parlante, c’est le vif intérêt qu’elle prend à ceux qu’elle a connus et qui souffrent, Elle vient de réussir, après trois tentatives coûteuses et inutiles, à sauver des prisons et à faire sortir de France une femme, son ennemie, pendant qu’elle était à Paris, et qui avait pris à tâche de faire éclater sa haine pour elle de toutes les manières. […] Tout cela voulait dire : J’ai plus de talent que vous, monsieur le girondin. — Riouffe, au milieu d’une discussion très-orageuse, a ainsi analysé les révolutions de France depuis cinq ans : — « Il y a eu en France trois révolutions : une contre les privilèges, vous l’avez faite ; une contre le trône, nous l’avons faite ; une contre l’ordre social, elle fut l’ouvrage des jacobins, et nous les avons terrassés. […] Celle lettre est très-peu connue en France ; elle peint déjà le Benjamin tel qu’il sera un jour, avec sa légèreté, sa mobilité d’émotions, ses instincts de joueur et de moqueur, et aussi avec toute sa grâce. […] Le baron de Salgas, gentilhomme protestant de la maison de Pelet, dont les ancêtres avaient quitté la France à la révocation de l’Édit de Nantes ; il avait passé des années à la cour d’Angleterre en qualité de gouverneur d’un des jeunes princes de la maison de Hanovre.

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