Les deux songes sont pris également à la source des différentes religions des deux poètes : Virgile est plus triste, Racine plus terrible : le dernier eût manqué son but, et aurait mal connu le génie sombre des dogmes hébreux, si, à l’exemple du premier, il eût amené le rêve d’Athalie dans une heure pacifique : comme il va tenir beaucoup, il promet beaucoup par ce vers : C’étoit pendant l’horreur d’une profonde nuit.
Isidore De Seville nomme également chantres, ceux qui joüoient les tragedies et ceux qui joüoient les comedies.
Voir également, contes inédits des Mille et une Nuits : Histoire de Djamasp et de la reine des serpents, tome I, pp. 209.
Nous ajoutons seulement que le travail, la refonte, la rature sont également des moyens de bien « voir clair dans ce que l’on pense ».
C’est dire que voilà une attitude également justifiable.